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Sortir de sa zone de confort : oui, mais comment ? On vous montre !

Sortir de sa zone de confort : oui, mais comment ? On vous montre !

Par Nathalie Pouillard

Mis à jour le 27 novembre 2020, publié initialement le 27 novembre 2018

Vous êtes entrepreneur(e), salarié(e), étudiant(e), femme/homme au foyer... la question que nous allons aborder touche absolument tout le monde : comment sortir de sa zone de confort ?

Nous vous présentons plusieurs pistes de réflexion, quelques théories, des citations, mais aussi des conseils pratiques pour oser, dans votre vie personnelle comme professionnelle.

À la clé ? Les nouvelles tendances collaboratives pour vous aider à changer vos habitudes au travail. Parce que c’est un travail à faire sur soi, mais avec les autres, c’est plus facile et plus agréable !

Un cercle vertueux ou vicieux ?

La zone de confort : définition

La zone de confort peut se décrire de plusieurs façons :

  • l’état psychologique dans lequel vous vous sentez à l’aise, en sécurité,
  • l’ensemble de vos habitudes et des comportements qui vous rassurent,
  • l’ensemble de vos savoir-faire et de vos acquis,
  • l’espace où votre incertitude, le manque et la vulnérabilité sont réduits au minimum.

Le terme a beau être composé d’un mot positif, « confort », il a pourtant une connotation négative, car il sous-entend :

  • un immobilisme, 
  • une routine, 
  • une facilité, 
  • un laisser-aller, etc.

Certains qualifient la zone de confort de « prison dorée », ce qui est très parlant : vous vous y sentez bien, mais elle vous enferme et vous empêche d’évoluer.
C’est l’espace limité du « connu » et du « maîtrisé ».

Plusieurs types de confort 

La quête de la zone de confort répond à votre besoin de contrôle, par peur :

  • de l’échec, 
  • du changement,
  • de la perte des acquis, 
  • d’une déroute personnelle.

Vous pouvez très bien relever des challenges incroyables au travail tout en étant plus « frileux » sur d’autres points (amour, sport, etc.). 
Tout dépend de votre niveau de confiance, développé ou abîmé par vos expériences, l’attitude positive ou négative de votre entourage, en bref, vos réussites et vos échecs, vos encouragements et vos traumatismes.

Qui cela concerne-t-il ?

Tout le monde ! À un moment ou à un autre, ou de façon plus installée :

  • les anxieux,
  • les démotivés,
  • les peureux,
  • les paresseux,
  • les « satisfaits comme ça »,
  • les débordés, 
  • les « inconscients », etc.

La zone de confort a des avantages

Vous y êtes, ou vous y sentez :

  • performant,
  • expert du sujet,
  • valorisé,
  • sans stress ni fatigue.

Quelques théories intéressantes

Plusieurs théories se penchent sur les besoins fondamentaux et les passions, qui contribuent au développement personnel. En voici quelques-unes.

La méthode Coué (1926)

Le psychothérapeute Émile Coué a écrit Maîtrise de soi-même par l’autosuggestion consciente
Il recommande de répéter 20 fois de suite et trois fois par jour la formule : « Tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux. » 
Il est certes mort la même année (à 69 ans tout de même), mais la méthode Coué était née.
Parmi ses observations, la loi de l’effort inverse : l’imagination l’emporte toujours sur la volonté. Une piste pour dépasser ses préjugés.

La pyramide de Maslow et la psychologie humaniste (1943)

D’après la pyramide des besoins de Maslow (établie par le psychologue Abraham Maslow), vous avez 5 besoins fondamentaux que vous assouvissez les uns après les autres, des plus essentiels (la base) aux plus « superflus » (la consécration). C’est le besoin d’autoactualisation.

© Behance.net

Certains l’ont d’ailleurs détournée de façon humoristique, avec les besoins de notre époque hyper connectée :

© coaching écologique

La pyramide de Maslow démontre qu’une zone de confort n’est pas forcément négative.
C’est aussi un repère, une étape nécessaire à notre croissance, à l’accomplissement d’un objectif. Votre zone de confort vous sert de tremplin vers l’épanouissement.
Encore faut-il en sortir.

La pensée positive (1952)

Norman Vincent Peale a écrit le livre The power of Positive Thinking (La puissance de la pensée positive) décrivant comment transformer ses émotions négatives en attitudes positives. Il a aussi écrit Quand on veut, on peut ! en 1979.

De nombreux autres ouvrages s’en sont inspiré, comme Mindset de Benjamin Smith, dont quelques pistes sont livrées ici en vidéo :

La programmation neurolinguistique ou PNL (1973)

La programmation neurolinguistique est une démarche pragmatique en psychologie appliquée élaborée par Richard Bandler et John Grinder.
L’un de ses principes est de transmettre les « savoir-faire » (compétences) et les « savoir-être » à ceux qui en ont besoin, pour un dépassement de soi.
Certaines interventions de PNListes ont notamment pour but de lever les freins que l’on se met à soi-même, dus à des « croyances limitantes », comme « je n’y arriverai jamais », « ce n’est pas pour moi », etc. ayant un impact sur l’estime de soi.

Regardez cette vidéo pour en savoir plus :

L’ikigai

Connaissez-vous le test japonais de l’ikigai ?
Ikigai se traduit par « raison d’être » ou encore « raison de se lever chaque matin ».
C’est l’association des mots ikiri (vivre) et gai (réalisation de ses souhaits).
Le concept est de trouver du sens à ce que l’on fait, de trouver sa voie, d’avoir un but, en somme de ne pas se résigner à la zone de confort.
C’est une très bonne méthode pour trouver le job de ses rêves, un défi personnel qui demande réflexion sur vos talents, vos acquis, vos goûts et vos valeurs.

Certains trouvent leur ikigai dans leur vie familiale, d’autres dans le développement d’un art, ou dans les deux.

Source etre-optimiste.fr

Petit tuto : remplissez en premier chaque partie externe du cercle (ci-dessus fléchée), puis complétez la zone où se trouvent les mots clés « métier », « mission », « passion » et « vocation » avec des mots, idées, sentiments ou expressions synthétisant pour vous les interactions entre les deux cercles qui se croisent à cet endroit. Faites de même avec tous les espaces vierges suivants, comment y résumer en quelques mots les notions qui les entourent ?

À visionner aussi : L’ikigai, un outil pour savoir ce qui vous va le mieux au travail — Europe 1

Comment sortir de sa zone de confort ?

Sortir de sa zone de confort : définition

C’est l’action qui découle de la prise de conscience, de la décision de dépasser ses propres blocages, repousser ses propres limites, pour être plus épanoui et plus heureux.
Une forme de lâcher-prise.

Paradoxalement, sortir de sa zone de confort, « c’est reprendre le contrôle de sa vie, se placer aux manettes pour devenir la personne que l’on souhaite être » (source www.psychologies.com), alors qu’on doit justement sortir de sa zone de contrôle pour cela.

En sortir, c’est aller dans une nouvelle zone : la zone d’apprentissage ou de découverte.

La zone d’apprentissage ou de découverte

C’est là que se trouvent les « risques de succès ».

Ses bénéfices :

  • évolution de vos performances et de vous-même,
  • augmentation de vos compétences,
  • élargissement petit à petit de votre zone de confort,
  • agilité intellectuelle,
  • créativité,
  • amélioration de votre confiance en vous.

Pourquoi sortir de sa zone de confort ?

Où la magie se produit...

  • pour être heureux,
  • pour décupler votre potentiel,
  • pour satisfaire votre ego,
  • pour retrouver confiance en vous,
  • pour vivre de nouvelles expériences,
  • pour acquérir de nouvelles compétences, de nouveaux savoirs,
  • pour rencontrer de nouvelles personnes,
  • pour vous surprendre vous-même,
  • pour affronter vos peurs,
  • pour sortir de l’ennui,
  • pour provoquer votre chance,
  • pour résister au vieillissement et maintenir le lien social,
  • pour vous découvrir une passion.

→ pour être vivant en somme !

Cette vidéo dessinée est un très bon résumé (à regarder jusqu’au bout) 😀 :

#histoiresvraies

Attention, ces anecdotes sont tirées d’histoires vraies, toute ressemblance avec des personnages réels n’est pas du tout fortuite.

« J’ai démissionné de mon travail pour une nouvelle expérience professionnelle sans savoir si ça allait fonctionner ni me plaire, aujourd’hui je me demande pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt ».

« Mon meilleur ami s’est désisté un mois avant notre grand départ pour un roadtrip à travers la Russie. Plutôt que d’annuler, j’y ai été seul et j’ai fait ce que je voulais quand je voulais, j’ai même rencontré une foule de gens qui ne m’auraient jamais parlé si on avait été deux ».

« Je paniquais à l’idée d’être à 20 mètres sous l’eau, mais la plongée m’a toujours attirée. J’ai fait un stage avec l’UCPA : une plongée par jour, j’avais intérêt d’aimer ça ! Je viens de rentrer avec mon diplôme de niveau I et j’ai déjà réservé mon prochain séjour pour le niveau II ».

© atmosphere-citation

Un pied sur l’accélérateur, l’autre sur le frein

Vous êtes responsable de votre propre bien-être, celui ou celle qui a le détonateur.
Si vous ne faites rien pour évoluer, vous vous complaisez dans une situation inconfortable.

Mais attention, il ne s’agit pas de révolutionner votre vie du jour au lendemain. Vos fondations font ce que vous êtes aujourd’hui, pour le meilleur aussi.

Pour commencer, il est important que les défis restent surmontables, atteignables, pour éviter toute frustration. Les petites victoires vous donneront envie d’aller plus loin, à votre rythme.

1) Faites un bilan personnel et/ou professionnel

  • Que faites-vous par plaisir et par envie ? Par habitude ? Par peur ? 
  • Dans quelle zone pensez-vous être majoritairement aujourd’hui ? Confort, apprentissage, panique ?
  • Votre zone de confort est-elle toujours aussi confortable ?

Vous pouvez vous faire aider en demandant de l’aide à un professionnel, à vos amis, à votre famille. Leur regard, certes peu objectif en qui concerne vos proches, peut vous aider à prendre conscience de certains blocages que vous ne soupçonnez pas.

2) De quoi avez-vous peur ?

  • De votre jugement personnel ?
  • Du jugement des autres ?
  • De l’inconnu ?

3) Restez positif !

  • Plutôt que d’envisager ce que vous pourriez perdre, que pourriez-vous gagner à sortir de votre routine ?
  • Ne doutez pas du fait que les gens vous estiment, parfois plus que vous-même.

4) Innovez, osez !

  • Faites de façon régulière, une fois par mois, par an, quelque chose que vous n’avez jamais fait avant (un restaurant, un voyage).
  • Faites le tri de vos « boulets » émotionnels, vous vous sentirez plus léger et plus libre.

5) Soyez persévérant et patient

Tout vient à point à qui sait attendre.

6) Faites le premier pas

Vous repoussez une demande de formation de mois en mois ? Une demande d’augmentation ? L’inscription à la salle de gym ?
Prenez un rendez-vous avec l’organisme qui propose la formation de vos envies, votre employeur, la salle la plus proche. Étape 1 : franchie ✅

14 citations pour vous encourager !

100 % des gagnants ont tenté leur chance… ! FDJ

  • Tu n’as comme seules limites que celles que tu t’imposes. Mylène Muller
  • Notre zone de confort est un bel endroit mais rien n’y pousse. Elisabeth Kübler Ross
  • Le meilleur moyen de surmonter ses peurs, ce n’est pas d’y réfléchir. C’est de sortir et de les affronter. Dale Carnegie
  • Ce qu’un homme peut être, il doit l’être (What a man can be, he must be). Abraham Maslow
  • La folie, c’est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent. Albert Einstein
  • Une personne qui n’a jamais commis d’erreur n’a jamais tenté d’innover. Albert Einstein
  • La vie est à un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter. Mère Teresa
  • Pour vaincre sa peur, agir est la meilleure méthode. Susan Jeffers
  • Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. Sénèque
  • Le plus grand échec est de ne pas avoir le courage d’oser. Abbé Pierre
  • Celui qui déclare être trop vieux pour apprendre l’a probablement toujours été. H.S. Haskins
  • Le tout dans l’audace, c’est de savoir jusqu’où on peut aller trop loin. Jean Cocteau
  • Si tu ne décides pas de ton destin, c’est ton destin qui décide pour toi. Ironman 😄

Sortir de sa zone de confort professionnelle

On parle souvent de développement personnel, mais la zone de confort touche aussi le développement professionnel.
C’est un domaine où vous pouvez hésiter à prendre des risques tout simplement parce que cela met en péril vos besoins fondamentaux (cf. Maslow), c’est-à-dire le besoin de sécurité (financière) et en conséquence les besoins physiologiques (manger et nourrir votre famille).

Certes, selon le sociologue Jean Viard, vous ne passez plus que 12 % de votre vie, en moyenne, à travailler (contre 40 % au début du siècle), suite à :

  • l’allongement des études, 
  • l’accroissement de la longévité,
  • les évolutions de la loi au fil du temps (jours de repos, durée hebdomadaire).

Mais cela reste une part importante de votre vie où vous devez vous épanouir.
Un manque de passion finit toujours par se traduire par de l’inefficacité, une démotivation voire des erreurs, et c’est toute l’entreprise qui en pâtit.

Dans la vidéo sur le concept Ikigai (plus haut), la journaliste, auteure et conférencière Anne Cazaubon, indique que sur 100 personnes se rendant au travail :

  • 60 % y vont parce que c’est nécessaire,
  • 31 % y vont à reculons (d’angoisse, de colère),
  • 9 % y vont avec enthousiasme.

Pourquoi sortir de votre zone de confort professionnelle ?

  • pour exploiter pleinement votre potentiel,
  • pour vivre des expériences plus riches,
  • pour rester motivé, éviter la routine qui conduit au désengagement,
  • pour vous prouver votre propre valeur,
  • pour améliorer votre capacité d’adaptation aux imprévus et aux échecs,
  • pour vous découvrir de nouveaux talents,
  • pour vous ouvrir à de nouvelles opportunités.

6 conseils aux chef(fe)s d’entreprise ou managers

  • Mettre en place de nouveaux dispositifs, remettre en question ce que vous avez toujours fait, être à l’écoute, vous met dans une dynamique positive de management agile. 
  • Le changement, bien réfléchi et expliqué, peut être source de reconnaissance de la part de vos collaborateurs, et de meilleurs résultats.
  • Le « statu quo » ne fait évoluer ni votre entreprise ou service, ni vous-même, ni vos salariés.
  • Plus vous résistez au changement, plus le retard à rattraper sera handicapant et angoissant. Les innovations technologiques et managériales sont en constante évolution. Acceptez la disruption pour vous développer.
  • Faites-vous aider/conseiller par vos salariés les plus à l’aise avec les nouvelles pratiques, sollicitez-les, ce sera valorisant pour eux, enrichissant pour vous et provoquera un engagement renforcé à vos côtés.
  • Si vous vous trompez, analysez et rebondissez : c’est un facteur de compétitivité indéniable. La concurrence aussi fait des erreurs.

6 conseils aux collaborateur(rice)s 

  • Changer vos habitudes est source de renouveau, de satisfaction ou encore de remise en question positive de vos attentes et envies.
  • Si vous n’évoluez pas, un autre le fera, une nouvelle recrue se fera remarquer et promouvoir à votre place.
  • Profitez des changements pour apprendre, vous enrichir, cela vous servira, ici ou ailleurs.
  • Redonnez du sens à votre vie professionnelle : exploitez-vous tout votre potentiel ? Êtes-vous à votre place ?
  • Envisagez votre démarche de développement personnel en harmonie avec les autres, dans un esprit d’équipe. Sinon vous vous confronterez à de nouveaux blocages, ceux de vos collègues.
  • Si vous vous trompez, expliquez vos erreurs, c’est un apprentissage en soi !

Dans « transformation digitale », il y a « transformation »

Voyez cette évolution comme une opportunité d’apprendre et d’évoluer, plus que comme une contrainte. 
Surtout si l’utilisation des nouvelles technologies vous permet de gagner du temps et ainsi de vous épanouir dans d’autres domaines !

Les bénéfices des Softwares as a Service (SaaS) sont multiples : 

  • économie et liberté (pas d’achat de licence, abonnement mensuel sans engagement, etc.),
  • mobilité (tout est sur internet et donc consultable depuis votre ordinateur, votre tablette ou votre smartphone),
  • adaptabilité (modules sur mesure, évolutions technologiques, mises à jour),
  • sécurité (données cryptées, sauvegardées, etc.).

Plus aucune excuse, les logiciels sur le cloud proposent très souvent des versions d’essai gratuites : de quoi changer vos habitudes sans prendre de risques !

Communiquez, collaborez, exprimez-vous !

Dans le domaine de la collaboration, l’effet groupe peut être intimidant et vous bloquer. Et pourtant, il peut aussi vous aider à vous révéler, ou à révéler vos collaborateurs. Voici quelques exemples pour vous.

  • Les plateformes collaboratives, telles que les réseaux sociaux d’entreprise, permettent de donner une voix à chaque collaborateur pour qu’il partage ses idées avec les autres. Le partage de savoirs profite à tous et valorise les talents de chacun.
    Ce sont aussi des espaces favorisant le social learning, l’apprentissage grâce aux autres : un bon moyen de vous dépasser et d’être plus à l’aise dans les échanges professionnels.
    Parmi les plateformes collaboratives et sociales en mode SaaS, on peut citer : Talkspirit, Jamespot, Netframe.
  • Certains outils d’innovation participative favorisent aussi la créativité par la gestion des idées et des innovations, notamment : SocialJsIdées, SeeMy Social Ideation.
  • Des logiciels de visioconférence et de modules de formation en ligne (comme les Mooc - Massive Open Online Course) ont ouvert une nouvelle ère en matière d’apprentissage et de développement personnel et professionnel (e-learning).
    Les TICE (Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement) permettent d’échanger, d’apprendre, de partager à travers une interface, en ligne et à plusieurs. La prise d’initiatives et la communication avec vos collaborateurs sont encouragées.
  • Si vous êtes indépendant(e), pourquoi ne pas envisager le coworking ? Né du besoin d’échange des autoentrepreneur(e)s, il permet la création d’un réseau pour éviter l’isolement et favoriser le partage.
  • Pour finir : la reconversion professionnelle. Parfois sortir de sa zone de confort, c’est aussi reconnaître que l’on s’est trompé de direction. La méthode Ikigai vous aidera peut-être à trouver votre nouvelle voie. 😉

Félicitations ! Vous avez fait le premier pas !

Déjà ? Comment ? En lisant cet article tout simplement. Maintenant le tout est de savoir : où se situe votre zone de confort ? Quel est le premier challenge que vous souhaitez relever ? C’est bon, vous visualisez ? Gooooo !

Si vous avez d’autres idées, techniques, citations inspirantes, n’hésitez pas à les partager avec nous !

Nathalie Pouillard

Nathalie Pouillard, Editorial Manager, Copywriter et relectrice-correctrice

Avec une décennie d’expériences éditoriales à son compteur, Nathalie Pouillard est passionnée par les mots et la transmission de savoirs. Diplômée de Sup de Pub INSEEC Paris en conception-rédaction et stratégie publicitaire, et spécialisée en conception-rédaction, elle a plusieurs casquettes, dont la rédaction, mais aussi la correction et révision de textes pour divers secteurs (édition, communication en agences, audiovisuel). Ses compétences en stratégie éditoriale, référencement naturel et webmarketing l'amènent également à travailler sur des projets SEO. Elle a notamment travaillé dans le secteur associatif (pour la presse) et pour une start-up de conseil aux entrepreneurs.

Réalisations : articles, brèves et infographies pour le magazine trimestriel [NDLR] en Occitanie. Articles web sur l’actualité des SaaS et de l’entrepreneuriat. Gestion de projets pour l’égalité de traitement des femmes dans les médias (Femmes & Médias) : Annuaire des expertes, Esprit Critik.

Certifications : Lecture-correction (EFLC), Certificat Voltaire (expert), Certificat Le Robert (expert)